travestie-marion

Ce dernier week-end de juillet fut un week-end très sexe avec vendredi ma 1ère éjaculation buccale (cf récit précédent), et dimanche mon 1er tapinage au vu de tous, dans un quartier résidentiel de St Etienne. Jamais je n'aurai pu imaginer que j'allai arriver à être habillée en femme provocante au milieu de n'importe quel quidam !

En sillonnant ce quartier de « La Terrasse », je pus entendre des réflexions de jeunes, de femmes, d'hommes, de couples ou de familles : les gens se retournaient sur mon passage et émettaient des réflexions. Je fus abordé par un couple qui voulait me prendre en photo. Refusant net, je ne suis pas une bête de foire !!!

Avant d'aller dans ce quartier résidentiel, j'avais commencé à arpenter les rues de la plaine Achille, à y faire les cent pas, m'appuyant langoureusement contre un arbre ou un poteau de signalisation telles les putes, à appâter le client. Plusieurs voitures passaient et repassaient sans s'arrêter, mais en ralentissant à ma hauteur.

Pour l'occasion, je m'étais habillée bien salope : petite robe noire « multistyles », bas noirs, soutien-gorge avec balconnets et talons hauts, mais sans culottes. J'avais donc ma petite chatte à l'air libre, cinglée par le vent et la pluie environnante. Qu'il est bon de jouer les allumeuses ! Ce qui finira par payer : une voiture s'arrêta à ma hauteur et me demanda ce que je faisait. Je lui répondis tout. Son conducteur était interressé et alla garer sa voiture, pour revenir bien vite, monter dans la mienne pour que j'aille lui prodiguer quelques délices à l'abri du parking Geoffroy Guichard.

Il me racontait qu'il était un pur hétéro qui ne voulait pas mourir idiot, et voulait connaître une expérience avec une trav. En descendant de voiture, je le sentis paralysé, ne sachant quoi faire. Je pris les choses en main comme une vraie professionnelle avec des mots doux pour le faire se détendre.

Je m'accroupis à genoux devant lui, lui ouvrit sa braguette et commençant à le sucer. Il me stoppa dans mon élan et me demanda de le sucer avec capotes. J'ai l'habitude de sucer sans capotes d'habitude, mais j'en ai toujours sur moi pour la baise, heureusement !! J'en déroulait une sur sa queue, d'abord avec les doigts, puis avec ma bouche. J'allai et venai sur sa queue qui enfla rapidement, lui malaxant les couilles en même temps et descendant le plus bas possible, l'enfonçant au plus profond de ma gorge.

Lui, il voulait tout connaître des trav, et donc baiser avec elles. Il me demanda de m'installer en position pour lui offrir ma chatte bien ouverte et accueillante. Je me couchais sur le capot de la voiture pour que ma chatte soit bien relevée et mon cul bien cambré. Mais, dès qu'il s'en approcha, il débanda net. Peur d'être surpris ? Peur de la première fois ? Peur de ne pas être à la hauteur ? Il enleva la capote pour se branler et jouir, je l'aidait en lui caressant les couilles. Il cracha son jus en arrosant ma main, uniquement (sniff sniff ). Quel gâchis de voir ce sperme par terre, alors qu'il aurait pu tapisser ma gorge !

En le ramenant plus au centre, il se mélangea dans les excuses, et aurait aimé me revoir, mais je quitte la région pour le Bourbonnais. Il me demanda des renseignements pour trouver d'autres trav, et pour se faire baiser par une trans.

Trop excitant de déniaiser un hétéro aux plaisir de la baise avec des travesties comme moi !