travestie-marion

Ne pouvant pas aller draguer physiquement sur des lieux de drague à cause d'une voiture accidentée, je me connectais sur un réseau de tchat où des mecs recherchent des travesties. L'un d'entre eux, habitant à deux pas de chez moi, me trouvant ravissante et bonne salope, voulu me rencontrer ; j'acceptais et ce fut un week-end agréable entre ses bras que je passais.

Le samedi, je me rends chez lui, habillée de ma petite robe rouge et noir, et le dimanche d'une robe ajourée accompagnée d'un string en dentelle, soutien-gorge, bas et chaussures à hauts talons. Après son accueil et quelques discussions sur son clic-clac, il me caresse et me dit d'y aller, de le prendre en bouche. Je me penche vers sa queue dont je titille la tête, avant de l'avaler, descendant jusqu'aux couilles et remontant, n'hésitant pas à le regarder.

Si le samedi il se servit de ma bouche comme d'une chatte à baiser, le dimanche fut tout autre. Me demandant de me mettre en 69 pour qu'il me bouffe la chatte tout en se faisant sucer, et préparer mon trou à le recevoir, il me fit empaler sur sa queue. Là, plantée sur ce pieu dressé, sans capote, j'en éprouvai du désir et me mis à gémir. Je ressortis pour le resucer de nouveau, sa queue ayant l'odeur de ma chatte. Cependant, il débanda rapidement et je n'arrivai pas à réveiller l'oiseau, même s'il se sentait excité par ma présence et ce que je lui faisais. Il se disait sur le point d'éjaculer sans y arriver. Il aurait aimé jouir dans ma bouche de bonne pipeuse.

J'y retournais ensuite en septembre, et là il devint dominateur: m'embrassa langoureusement sur ma bouche et où nos langues se melaient, il me caressa, me titilla mon minou et me doigta. A tel point que je gémis de plus en plus fort. Je le suceai et m'empala sur sa queue, toujours sans capote.

Il en profita pour prendre des photos, dont celle ci-dessus